Ce nouveau récit débute comme une séance de cri primal, dont les adeptes cherchent dans la régression fœtale la résolution de leurs problèmes, ou comme les mots du Daodejing :

« Apprendre, c’est de jour en jour croître,
Suivre la Voie, c’est de jour en jour décroître,
Décroître au-delà du décroître :
Ne rien faire et il n’est rien qui ne se fasse ».

Ou encore, plus prosaïquement, comme nos bas de laine après la crise, comme les tours jumelles après le choc, et comme le génie de Ray Charles après qu’il a laissé tomber la poudre.

Décroissons ! Avec donc (beaucoup) plus de concision qu’au Guizhou, je vous laisse la bobine de mon dernier voyage, à vous de la rembobiner.

Elle commence à Pékin, quand mon père y arrive, et barre ensuite le Yunnan d’une diagonale Sud-Ouest Nord-Est, de la frontière birmane aux contreforts de l’Himalaya.

Vous pouvez accéder aux articles contigus de ce carnet:Yunnan: les Birmans, c’est charmant >>

Laisser un commentaire