En bonus de cet essai de traduction, voici en avant-première la « partition » du poème de Wang Bo auquel nous nous frottions. Que vous parliez ou non  le Chinois, vous pourrez ainsi chanter ces vers d’adieu et, j’espère, en mieux saisir la beauté que derrière le filtre d’une traduction.
Voici donc ce poème au « sous-préfet Dou nommé dans l’Etat de Chou », en vers par vers et sur portée.

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