Que l’automne soit là Fujiwara no Toshiyuki n’a plus besoin de le rappeler.

Les allées du Luxembourg disparaissent sous les feuilles mortes comme un pochoir d’enfant
Une pluie fine rainure la terre en bassins versants et fleuves miniatures
Sous un kiosque des danseurs matinaux ou peut-être des arts martiaux en gestes lents
Le ciel est gris les arbres aux tons passés sauf autour du bassin des fleurs jaunes et glacées

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