Conformément au principe qui est de chercher ce qu’on a perdu là où c’est éclairé, voici la seule photo que j’aie prise de Suzhou.

Ayant manqué le bus matinal de Hangzhou, j’arrive en fin d’après-midi, alors qu’il pleut à verse. Les jardins qui ont rendu Suzhou célèbre – « Jardin de la Politique des Simples », « Jardin du couple retraité », « Jardin où l’on s’attarde » – montrent porte close. Sous la pluie battante, naviguant entre les flaques, je marche vers le centre ville, tâchant d’éviter le flot des vélocipédistes, qui pour l’occasion se sont enveloppés dans des imperméables englobants aux couleurs vives.

La nuit vient de tomber, elle ne laisse que ce garage d’éclairé, où un groupe d’habitants conciliabule.

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